Les 20 premières minutes du film doivent être ce qui a été fait de mieux en matière de cinéma : c’est une véritable leçon.
Le film, dans sa globalité, est à l’avenant.
Wayne y est quand même grandiose, il faut l’avouer : son jeu est bien moins monolithique que ce que l’on lit parfois : il développe une palette d’émotions remarquable et magnifiquement mise en valeur par Ford. On pourra d’ailleurs longtemps se demander quels liens les liaient, ces deux là : il y a un vraiment une manière de rapport père/fils entre les deux John, le premier pouvant d’ailleurs être particulièrement cassant envers le second, comme cela peut-être le cas entre un père et son fils (en particulier sur la non participation de Wayne au second conflit mondial…). Est-ce cette alchimie particulière qui a contribué au caractère unique de leur collaboration ?
Par : Jean
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